Viol ou orgasme?

Dans les nouvelles qui m’interpellent, il y a celui du viol. Tous les journaux s’assemblent et se ressemblent pour retracer et obtenir le maximum d’informations. Le public et les médias deviennent avides de tous les faits et gestes, de la sentence…
On organise des marches, on redouble de vigilance, on créé des places de parking pour les femmes, la police redouble d’instructions. Par la prévention, on donne aussi de la peur. Et plus on a peur de tomber à vélo, plus on a de risque de tomber…

J’ai l’impression que l’on donne trop d’importance aux violeurs. En relatant tout cela, n’aiguise-t-on pas davantage le côté pervers ?

Les personnes à comportement sexuel déviant, sont souvent des personnes mal dans leur peau qui sont frustrée sexuellement, soit éjaculateur précoce, soit qu’ils éjaculent sans orgasme (cela représente un grand pourcentage dont on ne parle pas). La sexualité étant tabous, les adolescents apprennent à faire les choses cachées, à la vas vite pour s’assouvir…ça devient parfois un réflexe dans la sexualité… cela devient une frustration qui parfois augmente sans cesse…

Et si on parlait davantage de plaisir sexuel ? De faire durer le plaisir ? De le faire augmenter ? D’approfondir et d’apprivoiser les différentes forces et intensités de l’orgasme ? N’est-ce pas bien plus excitant ?