Un sujet souvent source d’embarras…
On aime, on n’ose pas le dire! On n’aime pas, on n’ose pas le dire!
Dans notre langage, quand on veut envoyer quelqu’un "paître" vulgairement, on lui d’aller se faire « enculer » ou on fait le doigt d’honneur… Tout cela ne valorise pas l’acte d’amour et de plaisir de cet endroit.
La pénétration anale peut-être source des plus grandes et vives douleurs, mais aussi des plus grandes jouissances… il y a juste une « petite » limite entre ses deux pôles si éloignés… un laissé aller, une peur, une confiance, une mésentente… et on bascule.
Souvent il y a aussi des approches un peu « gauches » par surprise, faisant sursauter et ne donnant pas le goût de l'envie.
Nous sommes peu sensibilisés à ce plaisir, un plaisir qui se vit dans la douceur extrême, une attention particulière… l’approche anale est toujours une défloration, elle a besoin d’une attention, d’un touché, d’une attente, d’une écoute continuelle pour être vécue dans le bonheur.