Je pense qu’il y a deux raisons importantes, pour que l’homme passe à cette expérience ! La première pour qu’il connaisse un autre plaisir ! Tous les hommes (ou presque) connaissent le plaisir de l’éjaculation ! Beaucoup d’hommes aiment pénétrer une femme analement. Mais si peu d’hommes aiment ou désir être pénétré ! Je ne dis pas que tous les hommes devraient avoir une relation avec un autre homme, ni que toutes les femmes devraient courir le plus rapidement possible acheter un gode ceinture (quoique…) ! Mais qu’une femme prenne le temps de s’atteler à donner du plaisir analement à un homme, par exemple, en massant les fesses d’un homme, en touchant gentiment le sphincter en petit cercle concentrique, en l’apprivoisant, en regardant l’homme s’ouvrir au plaisir du toucher (très sage !). Puis après un bon moment d’observation et de toucher très gentil, y glisser juste le bout du doigt, sentir comment l’homme réagit… on sent très bien quand il est crispé ou au contraire quand il se détend… Tout faire pour qu’il se détende au maximum ! Ce qui est important, c’est de ne jamais faire de mouvement brusque, ni dans la pénétration du doigt, ni pour le retirer. Il faut toujours avancer millimètre par millimètre, attendre que la personne s’habitue à la nouvelle sensation avant d’avancer à nouveau ou de bouger le doigt. C’est pareil pour retirer le doigt, être extrêmement doux, faire des pauses entre deux pour que la personne puisse respirer et se détendre. Tout mouvement brusque donne l’impression de recevoir un coup de poignard, provoque des déchirures et donne des souvenirs mémorables pendant 10 jours où on a envie de constamment se gratter là où il ne faut pas, car les démangeaisons de la cicatrice sont intenables, en espérant à chaque grande commission que ça ne se rouvre pas… Donc, les vas et viens avec un doigt sont à proscrire ! Ça provoquera des cris du partenaire qui hurlera qu’il n’est pas une femme ! Quand le doigt est complètement entré, on peut bouger le bout du doigt contre la face antérieure (contre le ventre). On sent une petite boule qui est la prostate… et en la massant d’abord doucement, puis peut-être plus intensément… l’homme risque fort bien de faire des gloussements de bonheur, d’écarter les jambes comme il ne l’a jamais fait… de dire « encore », d’en vouloir « encore plus » et qui sais-je un deuxième doigt ? Ce n’est que quand le plaisir est extrême, que l’homme se détend complètement que le vas-et-vient peut avoir lieu… tant que le sphincter encercle le doigt, cela ne sert à rien. Quelle beauté de sentir l’homme s’ouvrir à la femme et d’avoir confiance en elle !
La deuxième raison importante que l’homme devrait se faire déflorer… c’est qu’il apprenne la sensation d’être pris analement et il ne sera que plus attendrissant… et il arrêtera de prendre l’anus comme un vagin et de faire hurler une femme. Quand je dis « hurler », c’est un bien, grand mot, car ça coupe plutôt le souffle, et aucun son ne sort (que la grimace qu’il ne voit pas) il ne reste que les mains pour essayer d’exprimer sa douleur ! Le plaisir anal c’est génial, mais il faut l’apprivoiser, il peut-être source des plus grands plaisirs comme des pires cauchemars. La défloration anale, c’est toujours une première fois… il n’y a jamais d’habitude, si un jour, ça va légèrement plus vite, c’est parce qu’on est un peu plus détendue. On ne sait jamais à l’avance si on sera disponible de cet endroit ou non et jusqu’où on aura envie d’aller ! Un jour, on prendra son pied pour un massage superficiel seulement, un jour qu’un seul doigt, un jour, on veut plus ! Et ce n’est pas parce qu’aujourd’hui c’était géant qu’on veuille le revivre la semaine prochaine… ça demande une telle disponibilité, ouverture ! Alors, écoutez, découvrez et prenez du lubrifiant !